Diplômé du Conservatoire national supérieur de musique et danse de Paris en danse contemporaine (1999) et en analyse et écriture du mouvement en cinétographie Laban (2009), Raphaël Cottin est reconnu comme interprète, chorégraphe, pédagogue et notateur, son intense activité artistique s’exerçant auprès de différents chorégraphes et structures.

Raphaël Cottin, chorégraphe

Diplômé du Conservatoire national supérieur de musique et danse de Paris en danse contemporaine (1999) et en analyse et écriture du mouvement en cinétographie Laban (2009), Raphaël Cottin est reconnu comme interprète, chorégraphe, pédagogue et notateur, son intense activité artistique s’exerçant auprès de différents chorégraphes et structures. Actuellement, ses projets de recherche et de création sont développés surtout au sein de sa compagnie La Poétique des Signes, pour laquelle il crée 9 pièces ces 10 dernières années, dont Buffet à vif (avec Pierre Meunier et Marguerite Bordat) et C’est une légende (pour le jeune public), deux pièces créées au Festival d’Avignon en 2014 et 2017.

En 2018, dans Parallèles, il partage la scène avec son ami et professeur Jean Guizerix, étoile de l'Opéra national de Paris dans les années 1970-90. Il est également engagé depuis 2008 comme interprète et notateur dans la compagnie de Thomas Lebrun, directeur du Centre chorégraphique national de Tours depuis 2012.

En tant que chercheur et notateur, il est depuis 2013 membre expert de l’International Council of Kinetography Laban (ICKL), dont il coordonne depuis 2016 le comité de recherche. Il est aussi auteur d’articles et de partitions en cinétographie Laban. Enfin, il collabore régulièrement comme chorégraphe ou assistant sur des productions d'opéra ou de théâtre musical, comme avec Jean Lacornerie (7 productions ces 10 dernières années, essentiellement avec le Théâtre de la Croix-Rousse et le Studio de l'Opéra de Lyon : Lady In The Dark, Mesdames de la Halle, Bells Are Ringing, Roméo et Juliette, L’Opéra de quat'sous, Calamity/Billy...), ou avec Thomas Lebrun pour l’Académie de l'Opéra national de Paris (en 2017).

© Frédéric iovino